Je tiens à préciser que les personnages de NCIS de m'appartiennent pas et que surtout cette superbe histoire non plus. Elle appartient à needtoknow400
Je ne fais que vous la traduire, uniquement pour votre bon plaisir. En tachant d'être la plus exacte possible, même si parfois se fut dur, m'obligeant à remanier ou couper certaines phrases, pour une meilleure compréhension.
En vous souhaitant bonne lecture !
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A lot of Christmas
Chapitre I
Gibbs était assis à son bureau à lire un dossier. Il savait qu'il n'était pas censé travailler, car c'était la fête. Mais il détestait les fêtes, en particulier les fêtes de Noël. C'était seulement une semaine avant Noël, mais le NCIS le célébrait avant juste pour s'assurer que chacun puissent être là. Gibbs cependant aurait voulu être ailleurs qu'ici. Il venait tous les ans pour la même raison, son équipe. Gibbs se souciait de son équipe, ils sont de la famille et ils lui ont demandé de venir, alors il venait.
Mais comme d'habitude, son équipe se mêlait aux autres, en appréciant les événements alors qu'il était assis à son bureau de travail. Ce n'était pas de leur faute, Gibbs à toujours essayé d'être intéressés et engagés pendant un certain temps mais se lassait rapidement. Donc, Abby et Ziva parlaient avec un autre couple d'agents, McGee parlait à certaines personnes d'informatique et Tony, toujours été en train de flirter avec une certaine blonde de la comptabilité.
Alors, voici Gibbs assis à son bureau à lire certains rapports, il aurait préféré être à la maison, à travailler sur son bateau. Le côté positif de tout cela, fut qu'au moins ils servaient de l'alcool. Gibbs avait encore un verre en face de lui avec une petite quantité de bourbon. Il a pris la dernière gorgée et jeta le gobelet à la poubelle. Il vit un autre verre apparaître devant lui. Levant les yeux, vit Ducky lui souriait.
« Es-ce que tu te cache ? » Demanda Ducky.
« Impossible de me cacher de toi. »
« Je pense que tu aurai pu, si tu l'avais voulu. »
Gibbs ria.
« Peut-être. Tu te cache ? »
« Vérification d'un ami ». Ducky fit une pause. « Préoccupé ? »
« Beaucoup de travail à se préoccuper. »
« Ce n'est pas le travail qui te préoccupe. »
Gibbs secoua la tête. «Tu me profile Ducky ? »
« Non. » Ducky fit une nouvelle pause. « Juste une observation. »
« Alors ton observation dit que je suis préoccupé par…? »
Ducky regarda Gibbs, se demandant s'il devait dire ce qu'il voulait vraiment dire. Il voulu lui dire depuis des semaines, des mois, mais il ne semblait jamais être le bon moment. Jethro a toujours été un grand pressé pour avoir une vraie conversation, mais ce soir, Ducky senti que Jethro l'écouterait.
« Jethro, nous sommes amis depuis longtemps. »
Gibbs hocha la tête.
« Et je ne t'ai jamais vu douter de toi même jusqu'à présent. »
Gibbs regarda perplexe.
« Est-ce à cause de qui il est ? »
Il eu un long moment pendant lequel Gibbs regarda Ducky. Et Ducky ne pouvait pas dire s'il allait se mettre en colère ou nier tout ce qu'il pensait être vrai. Mais Gibbs laissa poursuivre cette conversation. En grande partie parce que Gibbs pensait que Ducky se trompait dans ses hypothèses quant à de Qui ils étaient en train de parler.
Gibbs secoua la tête.
« C'est à cause de qui je suis. »
« Quoi ? Un homme, au milieu de l'âge, divorcé, qui passe le plus clair de son temps dans son sous-sol avec un bateau. »
« Merci ! » Gibbs leva les yeux.
« Peut-être que tu aboyais contre le mauvais arbre pour ainsi dire. » Ducky s'arrêta de parler puis repris. « C'est peut-être contre cet arbre que tu es censé aboyer. »
« Et si il ne l'ait pas et que je fait erreur de tout cela ? » Dit Gibbs comme réponse.
C'était l'une de ces plus grandes craintes qu'il avait à propos de cette situation à l'heure actuelle. Comment réparer une amitié si la romance ne fonctionne pas ?
« Une vie à faire des erreurs n'est pas honorable, mais plus utile qu'une vie passée à ne rien faire. » Cita Ducky. « Préfères-tu simplement ne rien faire et peut-être passer à côté de quelque chose qui pourrait être ce que tu as toujours cherché ? »
« Et je suis celui qui doit faire le premier pas sur cette question, parce que… ? »
« Tu es le seul qui doute. » Ducky fit une pause puis repris. « Il sait déjà ce qu'il veut. Il n'a aucun doute, ne pense pas que ça pourrait être une erreur. Il se retient parce qu'il voit ton doute, sent ta réserve et il sait que rien ne peut arriver entre vous deux si tu ne travaille pas la question, Leroy. »
C'était la première fois que Ducky utilisait son premier prénom et Gibbs réalisa que Ducky savait exactement de qui ils parlaient. Autant que Gibbs haï que Ducky puisse le lire facilement, il était reconnaissant de pouvoir en parler à quelqu'un, il avait besoin d'en parler.
« Alors, il va juste attendre que je me décide ? »
Ducky sourit. « Il est amoureux. »
Gibbs regarda Ducky, les yeux pleins d'inquiétude et de douleur.
« Jethro, vraiment. Tu savais qu'il est amoureux de toi. »
Gibbs passa ses mains sur son visage. « Savoir et entendre quelqu'un le dire, c'est deux choses très différentes. »
« Alors peut-être, tu as besoin de l'entendre. » Ducky essayait de faire à son ami ce qu'il pensait vraiment.
Gibbs hocha la tête.
« Bien qu'il attendra Jethro, il n'attendra pas éternellement. » Ducky pause. « Et il a déjà attendu plus longtemps que la plupart des gens sains d'esprit le ferait. »
Le regard de Gibbs tomba sur le bureau de Tony en pensant à l'homme.
« N'attend pas qu'il soit trop tard. » Dit Ducky d'un ton calme, lorsqu'il a vu l'approche de l'autre homme.
« C'est donc là que la fête continue ? » Dit Tony tout sourire, lorsqu'il se dirigea vers le bureau. Puis il vit les regards graves sur les visages des deux hommes et se rendit compte qu'il avait interrompu quelque chose. « Je vais vous laisser finir. »
« Je vais partir Anthony. » Dit Ducky en tapotant le bras de Tony puis il regarda Jethro et s'éloigna.
« Désolé Boss. Je ne voulais pas vous interrompre. » Tony s'arrêta. « Ca me semblait très sérieux. »
« Ca l'était. » Dit Gibbs en regardant Tony. « De quoi avais-tu besoin ? »
« Je pensais juste qu'effectivement tu participais à la fête. » Tony sourit. « Mais je sais que tu n'aime pas ce genre de fêtes. »
« Quelque chose comme ça. » A déclaré Gibbs son regard fixe sur Tony.
Tony sentit nerveux comme il a toujours était, lorsqu'il avait ce genre de regard de Gibbs sur lui. C'était comme être sous un microscope et ne pas être sûr de ce que Gibbs recherché vraiment.
« As-tu enfin réussi à obtenir son numéro ? »
« Quoi ? » Tony avait l'air perplexe.
« Raphaëlle de la comptabilité. » A demandé Gibbs. Il savait que Tony a essayé d'obtenir son numéro depuis des mois. C'est pourquoi Tony lui avait parlé toute la soirée.
« Non, j'étais juste… Tu sais… » Tony voulait que Gibbs cesse de le regarder comme ça et qu'il ne puisse pas le lire aussi bien. « Oui. »
Gibbs hocha la tête et sourit. Tony était un joueur. Gibbs n'était tout à fait sûr que ce fût juste un jeu mais il jouait avec les femmes. Était-ce seulement du sexe, juste quelque chose pour tuer le temps, voulait-il vraiment avoir des relations entre eux. Il n'avait aucune idée de l'orientation sexuelle de Tony. Peut-être que courir après toutes ces femmes était juste une couverture. Gibbs ne savait pas si Tony avait été avec un homme auparavant. Et si Tony avait vraiment besoin de lui. Ainsi, de nombreuses variables, il n'y avait aucun moyen de savoir.
« Tu as faim ? » Gibbs a demandé en fermant son dossier devant lui et se leva.
Tony riant. « Je suis un Dinozzo, on a toujours faim. »
Gibbs hocha la tête vers l'ascenseur et se dirigea pour partir. Il a fallu un moment à Tony pour qu'il réalise que Gibbs voulait qu'ils partent ensemble. Il percuta et se glissa dans l'ascenseur lorsque les portes étaient sur le point de se fermer.
Lorsque l'ascenseur descend, Tony a finalement demandé. « Où allons-nous ? »
Gibbs haussa les épaules. « Nous le saurons quand nous y arriverons. »
Tony hocha la tête, essayant de ne pas le regarder. Il suivrait volontiers Gibbs de toute façon.
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« Je ne savais pas que Ramie's faisait à emporter." Dit Tony alors qu'ils marchaient dans la maison de Gibbs.
« Ils ne le font pas. » Dit Gibbs en raccrochant son manteau.
Tony regarda le sac à la main puis Gibbs.
Gibbs sourit puis se dirigea vers la cuisine.
« Laisse-moi deviner. » Dit Tony après Gibbs. « Le propriétaire te doit une faveur. »
« Non. » Répondit Gibbs saisissant deux bières du frigo et retourna à la salle de séjour.
Tony était posa le sac sur la table basse et pris l'une des bières offertes par Gibbs.
Assis dans le milieu du canapé, Gibbs a commencé à déballer les boîtes du sac.
Tony s'assit à côté de Gibbs, il regardait l'homme, tentant toujours de déterminer, ce que Gibbs savait pour obtenir du restaurant un tel service.
Gibbs secoua la tête et finalement abandonné. « Le chef. »
Tony sourit. « Vraiment ? »
« Ouais. Mystère résolu, peut-on manger ? »
Gibbs a ouvert le premier récipient et le tendit à Tony. Puis un autre a ouvert et a commencé à manger.
Après quelques bouchées, Tony regarda Gibbs avec de grands yeux. « C'est incroyable! Qu'est-ce que c'est ? »
Gibbs haussa les épaules. « Pasta. »
Tony sourit. « Vraiment, c'est surprenant, je n'ai jamais rien mangé de tel. » Dit Tony qui tenait une fourchette complète de pâtes.
Gibbs leva les yeux. « Je lui ai dit que tu aimais les pâtes »
« Tu as dit à un chef de restaurant de faire des pâtes, rien que pour moi. » Tony avait une boule dans la gorge.
« Tu aimes bien cela, non ? »
Tony hocha la tête essayant de ne pas rire.
« Je te rappelle que ce ne sont que des pâtes. » Fit Gibbs à moitié sourire.
Les yeux de Tony regardant autour de lui. « Eh bien...Euh… Je veux dire, je suis italien, les chances que j'aime les pâtes sont très élevées. »
« Vas-tu arrêter de faire le malin et faire fonctionner ta bouche et manger. »
Tony se mit à rire puis il a enfourné une autre fourchette complète dans sa bouche.
Gibbs regarda Tony et secoua la tête en voyant la sauce sur le côté de sa bouche.
« Là. » Gibbs en pause. « Tu as un peu de sauce. » La main de Gibbs toucha le visage de Tony et essuya la sauce avec son pouce, puis lécha la sauce sur son doigt. Il hocha la tête. « Elle est bonne. »
Tony regardait Gibbs en essayant de comprendre ce qu'il venait réellement se passer. Gibbs réalisa soudain, ce qu'il avait fait et déglutit difficilement.
« Si tu as certaines questions, tu peux les poser. » Tony sourit.
Gibbs regardait dans sa boite de nourriture. « Ouais. Je suppose que je peux. »
Que diable! Pensa Gibbs pour lui-même. Pourquoi diable, a tu fais ça. Gibbs a saisi une autre fourchette complète et la fourra dans sa bouche. En continuant à regarder dans son récipient, Gibbs a vu la fourchette de Tony atteindre sa boîte et prendre un peu de sa nourriture. Gibbs regarda Tony lorsqu'il mit sa fourchette dans sa bouche.
« C'est bon. » Tony sourit. Il a essayé d'alléger la lourde humeur de Gibbs en raison de l'incident de la sauce.
Gibbs sourit mettant son récipient sur la table et a atteint sa fourchette de plus en plus près pour prendre une bouchée dans celui de Tony. Cependant, après l'avoir vu venir, Tony mis sa boîte dans son dos avec un sourire mauvais.
« Eh, je veux goûter aussi. » Gibbs se pencha en avant en poussant Tony sur le canapé alors qu'il tentait d'atteindre la boîte.
« Hey personne ne m'a dit que j'avais à partager. » Tony se mit à rire comme Gibbs toujours essayé de mettre la main dans le récipient.
« J'ai eu à partager, moi. » Déclara Gibbs, le haut du corps épinglé Tony vers le bas contre le bras du canapé.
« Et alors ! » A dit Tony saisissant le bras de Gibbs tentant de l'empêcher d'atteindre le récipient de nourriture.
A ce contact soudain, Gibbs regarda vers le bas du visage de Tony et se rendit compte de leur position. Le regard de Tony semblait encore plus vert et rempli d'une faim que Gibbs n'avait jamais vue avant. Sans le vouloir, la main de Gibbs est allée du côté du visage de Tony et son pouce courait sur sa joue.
Pendant un moment, Tony a pensé qu'il était à nouveau en train de rêvé cet échange, mais comme il a mis sa main sur la main sur son visage, il a réalisé le toucher est très réel.
Gibbs ne se souvenait plus, il se perdit dans la profondeur des yeux de Tony.
« Embrasse-moi ou libère-moi. Ce sont les deux seules options que tu as. » Dit Tony le désir dégoulinant de sa voix.
Les yeux de Gibbs recherchaient ceux de Tony pendant un moment, pesant le pour et le contre.
« C'est l'un ou l'autre. Alors, que décides-tu ? » A demandé Tony.
« Quelle option me fait plus peur ? »
Tony avait l'air perplexe. Il n'avait jamais imaginé Gibbs avoir peur et parler de peur, ou de quelque chose comme ça. Lorsqu'il fait face à des terroristes et des barons de la drogue tous les jours, il semblait drôle que cette simple chose puisse lui faire peur.
« Si je t'embrasse. J'ai peur que ça ne soit jamais assez. » Gibbs fit une pause. « Et si je te laisse partir, J'ai peur que tu ne revienne jamais. »
« Je ne peux pas prendre la décision pour toi. » Répondit Tony le corps endolori par le désir d'avoir le corps Gibbs si proche.
Les lèvres de Gibbs se laissèrent tomber sur celle de Tony, s'alimentant d'un besoin primaire.
Gibbs fit tomber sa fourchette et enveloppé son bras autour de la taille de Tony tirant leur corps plus près tandis qu'il continuait à déguster les lèvres de Tony. Sa langue s'élança exigeants l'entrée de la bouche de Tony et rencontra aucune résistance. Gibbs se perdit dans la sensation d'avoir Tony dans ses bras et de l'embrasser pour la première fois. Il se sentait si bien. Tellement à sa place, qu'il laissa l'inquiétude qu'il avait, disparaître.
La boîte a glissé de la main de Tony et il a enveloppé ses doigts autour de l'arrière de la tête de Gibbs, le poussant vers le bas, plus fort contre ses lèvres. Tony avait tout oublié, sauf la sensation des lèvres de Gibbs et le corps contre lui. Il avait désiré ça depuis si longtemps, qu'une partie de Tony pensait qu'il était encore en plein rêve. Mais il savait qu'il ne l'était pas, parce que dans ses rêves, les lèvres de Gibbs n'ont jamais été aussi chaude, jamais aussi faim de lui et son corps n'a jamais était autant pressé contre lui. Les rêves de Tony ont toujours été au sujet de son propre désir, mais là en ce moment, il était nécessaire que Gibbs alimente l'incendie.
Gibbs aimé le rayonnement de chaleur du corps de Tony. Il n'avait jamais rien ressentit de pareil avant. Et lorsqu'il l'a acceptée, son propre corps surchauffa, augmentant la température entre eux. La réaction n'aurait pas dû être aussi intense, la nécessité si grande et le désir si fort. Pourtant, Gibbs le ressentait dans chaque fibre de son être.
À bout de souffle, Tony tira vers l'arrière en laissant son front reposer sur celui de Gibbs. Leur respiration était irrégulière et Tony se forçant à prendre de lente et profonde respiration.
« Satisfait de ta décision ? » Tony a demandé.
« Oui. »
« Toujours peur ? »
« Oui. »
Tony leva ces yeux dans les yeux de Gibbs. « Pourquoi ? »
Après un moment Gibbs aurai répondu, presque dit qu'il avait toujours eu peur de l'admettre. Au lieu de cela, il trouva les lèvres de Tony de nouveau à la fois à cause du désir et d'éviter la question.
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« Au moins maintenant, il se pose dans un plat. » Tony sourit lorsqu'il déversa le contenu du récipient dans un bol. Ils étaient dans la cuisine, pour réchauffer le dîner qu'il avait abandonné plus tôt.
Gibbs ôta sa nourriture du micro-onde et il resta assis sur le comptoir. Tony s'approcha et posa son bol à son tour dans le micro. Tony allait faire demi-tour mais il fut arrêté par les bras de Gibbs s'enroulant autour de lui par derrière. Alors que Tony senti le baiser sur son cou. Il s'abonna presque à son toucher comme il l'avait toujours voulu, mais Tony sorti de son étreinte.
« Aller mange. » Tony sourit.
Le regard de Gibbs était confus et douloureux et Tony sentit son cœur se briser. Gibbs pouvait en dire long avec un simple regard et Tony a immédiatement regretté son geste.
« J'arrive. » Tony regarda le micro-onde. « Dans une minute vingt. »
Gibbs se força à marcher vers le salon. Il s'assit à une extrémité du divan et attendit. Attendit de voir ce que Tony allait faire.
Tony est arrivé et s'est assis à l'autre bout et a commencé à manger.
Gibbs a pris quelques bouchées de son repas, et regarda l'autre homme.
Il a fallu quelques instants, mais Tony a finalement arrêté à mi morsure, réalisant que Gibbs le regardait.
« Quoi ? » Tony a demandé l'air confus.
« Je ne sais pas, à toi de me le dire ? »
Tony le regardait toujours confus.
« Je sais que ça fait un certain temps, mais le plus souvent après avoir embrassé quelqu'un comme ça, ils ne veulent pas, que tout à coup, je ne les touche plus. » Gibbs fit pause puis repris. « Il ya une raison pour laquelle tu ne veux plus être près de moi ? »
Tony garda le silence.
« La réalité ne répond pas au fantasme ? »
« Ce n'est pas ça ! » S'indigna Tony puis soupira et repris plus lentement, sachant que ces gestes avaient été mal compris. « Crois-moi, tu es incroyable. »
Gibbs a soulevé un sourcil et sourit. « Incroyable, seulement à partir d'un baiser. »
Tony sourit. « Ne vas pas attraper la grosse tête, Mister».
« Alors, pourquoi es-tu là-bas et pourquoi agi tu comme si tu ne supporte pas de me voir te toucher dans la cuisine. »
« Parce que tu as encore des doutes. » Les yeux de Tony étaient graves. Gibbs avait des doutes, Tony pouvait le voir. Gibbs avait une raison de n'avoir pas dit à Tony pourquoi il avait peur.
« Des doutes ? » Interrogea Gibbs.
Tony hocha la tête. La vérité était qu'il ne voulait rien d'autre en retour si ce n'est de retourner dans les bras de Gibbs, pour l'embrasser à nouveau. Mais Tony ne pouvait pas le faire si Gibbs avait des doutes. Il a toujours été la raison pour laquelle Tony n'a jamais rien tenté. Il ne pouvait pas risquer de perdre leur amitié si une relation entre eux ne fonctionne pas.
Gibbs se leva et se rassit à côté de Tony. « En cas des doutes, je n'en ai pas sur toi. »
« De quoi s'agit-il ? »
« Moi. ». Gibbs sourit. « Mon bilan. Je suis un salaud. »
« Je comprends que tu doutes. Mais par l'Enfer, je ne comprends même pas pourquoi tu doutes de cela, et nous n'irons nulle part sauf si tu parles pas. » Tony s'arrêta. « Parce que je ne peux pas être à l'aise avec ce que je comprends pas. »
Gibbs hocha la tête.
« Est-ce à cause de l'évidence ? » A demandait Tony.
« Quoi ? » A Gibbs demandé aux sourcils froncés.
Tony ria. « Le fait évident que nous soyons deux hommes. Je veux dire, nous n'avons jamais discuté de notre orientation, mais... »
Gibbs sourit. « Ce n'est pas cela. Ne te prends pas la tête pour ce détail sans importance, ce n'est pas la raison. »
Tony hocha la tête un peu surpris par la réponse, mais encore plus confus. Cela semblait être la raison logique de doute de Gibbs. Réévaluer votre sexualité peut avoir un effet majeur sur quelqu'un.
« Alors que pouvons nous faire pour répondre à tes doutes ? » Tony sourit.
« Eh bien. » Gibbs prit la main de Tony. « Tu peux commencer par venir ici. »
« Très bien. » Tony sourit pendant qu'il se déplaçait à cheval sur Gibbs. Ses mains sur les hanches de Gibbs.
Les bras de Gibbs s'enveloppé autour de la taille de Tony, le tenant en place.
« Alors je vais t'embrasse à nouveau. » A déclarait Gibbs ses lèvres frôlaient Tony juste assez pour que Tony mendiât pour plus. « Et puis, je t'expliquerai. »
Tony a attendu.
Gibbs regarda Tony dans les yeux. « Je te dis que je vais faire tout mon possible pour ne pas te rendre mal à l'aise. »
« Je sais. »
« Et je ne te blesserai jamais intentionnellement. » Gibbs fit une pause. « Bien que je te renvoie à ma précédente déclaration, je suis un bâtard. »
Tony se mit à rire. « Je sais déjà que tu es un salaud. »
« Bon. » Gibbs se mit à rire.
Puis Gibbs soupira. « Et enfin je te le répète, mes doutes sont, parce que je vais faire exactement ce que je viens de dire. Je ne veux pas que tu sois mal à l'aise et te blesser. Mais mon expérience n'a jamais été géniale dans ce domaine. »
Gibbs s'arrêta tout à coup, les yeux doux, attentionné et tout à fait sincère. « Ma vie personnelle a toujours été un accident de train et je ne veux pas te faire prendre le même risque. »
« Il y a toujours un risque. Je ne peux pas te promettre que tout finira dans une fin heureuse. Personne dans toute relation ne peut te le promettre. » Tony sourit. « Mais je peux te promettre que je ferai tout mon possible pour éviter l'accident de train. »
Gibbs en ria.
Tony laissa sa main se lever et toucher le visage de Gibbs. « Et même si je sais que tu es un salaud parfois. Je sais aussi comment tu es honnête, fidèle et attentif. » Tony sourit. « Et sacrément sexy. »
« Sexy, hein. »
« Outrageusement sexy. » Tony sourit.
« Ca ce discute. » Gibbs sourit. « Mais qui suis, n'ai aucunement discutable. » Gibbs tira Tony plus étroitement et l'embrassa à nouveau.
Le téléphone de Tony se mit à bourdonner. Tony brise leur baiser.
« Laisse sonner. » Dit Gibbs alors qu'il se déplaçait de la bouche de Tony à sa gorge.
« Um…Qu'es devenue de la règle n° 3 ? » A demandé Tony lorsqu'il arrivait à la hanche pour récupérer son téléphone.
Gibbs soupira.
Tony a vu l'identification de l'appelant et eu l'air surpris. « Directeur Vance. Je laisse sonner ? »
« Non » Gibbs secoua la tête. « Répond lui. »
« Agent DiNozzo. » Dit Tony de sa voix meilleur d'agent. « Oui. En effet. »
Gibbs recommença à embrasser la gorge de Tony.
« Je ne me sentais pas bien et il m'a ramené à mon domicile. Je crois c'était un abus de la soirée. » Tony a essayé de se concentrer sur la conversation et non pas sur la sensation des lèvres de Gibbs sur sa peau. « Je sais. »
Gibbs laissa glisser les mains sur les hanches de Tony et l'a tiré vers le bas contre lui.
« Stop ! » Dit Tony a Gibbs et lui donna un mauvais œil.
« Non Directe…, pas à vous… Oui. Je sais, … très anti-Gibbs de m'avoir proposé ça. Je pense qu'il voulait juste une excuse pour quitter la fête. » Tony tentait d'écouter alors que Gibbs était encore en train d'embrasser sa gorge.
« Non, ce n'était pas… » Tony a été coupée. « Oui. Non, Monsieur. Je vais lui dire. Oui. » Et Tony ferma le téléphone.
« Tu aimes mettre le directeur hors de lui, n'est-ce pas ? » A dit Tony tout en continuant à profiter de la sensation de Gibbs l'embrassant.
« Pourquoi ? » Gibbs a dit entre deux baisers.
« Parce qu'il dit que tu étais supposé le voir avant de partir et que tu dois le rappeler. »
« Um hum. » Gibbs marmonna.
« Et il dit que tu ferais n'importe quoi pour sortir d'une fête. »
« Alors il t'a appelé. » Dit Gibbs levant enfin les yeux vers lui.
Tony frissonna de la perte de contact.
« Il a dit qu'il pense que tu ne répondrais pas à ton téléphone. » Tony sourit. « Et il a vu que je n'étais plus là, et à pourtant vu ma voiture au garage. Il en a déduit que j'étais probablement avec toi. »
Gibbs haussa les épaules. « Il a raison. Je n'aurais pas répondu. »
« Et ça ne te dérange pas qu'il ai vérifié le garage et vu ma voiture. » Fit Tony un peu surpris.
« Il était un agent, il sait comment faire une enquête. »
Tony regarda Gibbs. « Et s'il savait ce qu'il se passe vraiment chez toi en ce moment ? »
« Je ne vois pas en quoi cela le regarde, ce ne sont pas ses affaires. » Gibbs fit une pause. « Es-tu inquiet à ce sujet ? »
Tony secoua la tête. « Non. »
« Bon. » Gibbs hocha la tête.
« Mais qu'en est-il ma voiture ? » Questionna Tony.
« Elle est très bien là-bas. »
« Je sais cela, mais ce n'est pas le point. J'ai besoin de ma voiture. » Tony sourit.
« Tu prévois d'aller quelque part ? » A demandé Gibbs, sourcillant.
« Eh bien, je suppose que je vais rentrais chez moi à un moment donné. »
« Et qu'es ce qui te donne cette impression ? » Demanda Gibbs.
Tony sourit. « Tu me retiens captif ? »
Gibbs réclama à nouveau les lèvres de Tony dans un baiser exigeant et passionné, et l'agrippa plus étroitement. En même temps, Tony glissa sa langue afin qu'il puisse gouter à la bouche de Gibbs. Lorsque Gibbs a finalement tiré vers l'arrière, les yeux de Tony restèrent fermés.
« Captif ? Je suppose que tu es retenu contre ton gré. » Gibbs fit une pause. « Ne semble pas que tu ais fais quelque chose contre ta volonté. »
Tony ouvrit les yeux et regarda dans les étoiles bleu acier de Gibbs. « Alors ? Nous allons parler pour que je reste toute la nuit ? »
« Oui. »
« Tu semble bien sûr de toi. » Tony lui son fameux sourire Dinozzo.
Gibbs aurait ajouté que ce sourire était sincère et beau.
« Je serai un homme complet. » Gibbs a souri.
« Cela ne veut pas dire que moi, je dois l'être. »
Gibbs repris en riant. « Mais si, tu vas l'être. »
Tony lui a donné un air perplexe. « Pourquoi cela ? »
Gibbs a apporté son doigt vers le haut et tracé la lèvre inférieure de Tony.
« Parce que quand je te dit que je ne veux pas aller trop vite, je le pense vraiment. » Gibbs fit une pause et repris. « Nous devons profiter de cette première étape tranquillement, nous trouverons doucement notre rythme. Et tout ce que je veux faire avec toi ce soir, c'est dormir avec toi dans mes bras. »
Tony hocha la tête. Autant qu'il a compris la nécessité de prendre leur temps, la plus grande partie de lui, criait d'en avoir plus. Lentement n'était pas le point fort de Tony et son désir était déjà en ébullition.
Tony s'est penché vers Gibbs jusqu'à ce qu'il touche ses lèvres. Ses lèvres ont pris le doigt de Gibbs et le suça dans sa bouche. Sa langue le léchant sur la longueur et sa bouche continue à sucer goulûment. Tony vit les yeux de Gibbs se dilater et sentit son corps tendre. Gibbs regarder maintenant la bouche de Tony, l'action ayant l'effet désiré. Gibbs ne se déplaçait pas, pas à l'aise en vertu de Tony.
« Tony. » Le nom est sorti fragile et plus affamé que Gibbs aurait voulu s'exprimer.
Laissant glisser le doigt de Gibbs lentement de ses lèvres, Tony parla. « Quelque chose ne va pas ? »
« Outre le fait que tu essaye de rendre la chose impossible. Non. » La faim toujours présente dans sa voix.
Tony se pencha et déposa un baiser sur le cou de Gibbs a ensuite parlé à l'oreille. « Il suffit juste de penser à ce que je préfère avoir dans ma bouche. »
Gibbs fit un bruit entre un gémissement et un grondement, lorsqu'il agrippa les cheveux à l'arrière de la tête de Tony et tira sa tête en arrière.
Lorsque les yeux de Tony rencontrèrent ceux de Gibbs, il n'était pas sûr si l'autre voulait l'embrasser ou lui claquer la tête.
« Il faut se concentrer. » Gronda Gibbs mais ses yeux plaidé ceux de Tony.
Mais encore une fois Tony n'était pas sûr s'il a plaidé pour que Tony arrête ou le pousser plus loin.
« Je n'y peux rien, je veux ta bite dans ma bouche. »
Gibbs involontairement poussé vers le haut, vers Tony.
Tony n'a pas été surpris quand il a senti la bite de Gibbs dure contre lui. La seule surprise a été le gémissement qui s'échappa involontairement de la bouche de Tony.
Ses bras serrés autour de Tony, Gibbs écrasé le haut du corps ainsi que ses lèvres trempées à l'oreille de Tony. « Tony, s'il vous plaît. »
Dieu, que Tony aimait le son de son nom sur les lèvres de Gibbs. Cependant, l'intonation de la voix de Gibbs avait fait comprendre à Tony que Gibbs avait vraiment envie d'attendre. Et Tony savait qu'il devait respecter cela, au moins pour le moment.
Tony se détendue contre Gibbs, laissant leurs corps se touchaient et essayait de trouver un peu de calme ensemble. Les mains de Gibbs caressa lentement le dos de Tony. Tony écoutait la façon erratique dont battait le cœur de Gibbs contre sa poitrine et attendit que le calme revienne.
Gibbs plaça un chaste baiser sous l'oreille de Tony. « Je te remercie. »
Les mots surpris Tony et il a regardé Gibbs.
« Jamais quelqu'un ne m'a remercié pour m'être arrêté. »
Gibbs en ria.
« Tout va bien ? »
Gibbs hocha la tête. « Pas beaucoup de contrôle quand je suis avec toi. » Il eu une pause. « Et si tu ne t'étais pas arrêté... je n'aurais pas pu. »
« Tu n'aurais jamais dû l'admettre. »
« Ouais, je m'en rends compte. » Gibbs sourit.
« C'est beaucoup de pouvoir à avoir. » Tony s'arrêta. « Surtout sur toi. »
Les yeux de Gibbs étaient à la recherche de ceux Tony. « Doit être terrible de savoir comment je te veux désespérément. »
« Et il doit être terrible pour toi de le savoir et de me le montrer à tout moment. » Tony se dit que ses paroles n'étaient pas seulement pour lui.
« Crois-moi le temps viendra. » Gibbs sourit.
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« Où sont partis Tony et Gibbs ? » Demanda Ziva à Abby. « Je ne les ai pas vu depuis plusieurs heures. »
Abby haussa les épaules. « Je ne sais pas. Gibbs est probablement rentré chez lui. Il déteste ce genre de chose. »
« Tony a probablement accroché quelqu'un. » Rajouta McGee.
Ziva regarda autour d'elle. « Rachaëlle est toujours là. Elle a été après lui toute la soirée. »
« Peut-être, il est partit avec quelqu'un d'autre ? » McGee a dit.
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« Tu pense peut-être que je vais être capable de dormir dans cette position. » Tony se mit à rire.
« Je ne vois pas le problème. » Déclara Gibbs en entourant son bras autour de la taille de Tony par derrière. « Comporte-toi bien et dors. »
« Avec ta bite contre mon cul. » Tony était toujours hilare. « Comment suis-je censé ne pas y penser ? »
« TONY ! » Aboya Gibbs.
« Alors arrête de bouger. » Tony aboya en retour.
« Je ne bouge pas. »
« Oh. » Tony sourit lorsqu'il se déplaça à nouveau.
« STOP ! »
« Ok. » Répondit Tony en essayant de placer sans y parvenir.
« Ai-je besoin de t'expédier dans la chambre d'amis ? » Déclara Gibbs essayant de ne pas se concentrer sur les mouvements de Tony contre lui.
« Non. » Tony répondu, la menace d'être retiré des bras de Gibbs a enfin arrêté ses mouvements.
Il a été un moment de silence, Gibbs se dit qu'il allait enfin pouvoir dormir.
« Tu sais… »
Gibbs soupira.
« …pour quelqu'un qui prétend ne pas avoir de contrôle autour de moi, je trouve que tu fais un excellent travail. »
« Tony, dors. » Répondit Gibbs agacé.
« Je dis simplement, que je suis dans ton lit, à demi nu, enveloppé dans tes bras. » Tony s'arrêta. « Pas vraiment un bon mélange pour t'aider garder le contrôle. »
Gibbs avait déjà remarqué tout cela. Son esprit avait d'ailleurs pensé à bien pire et il n'avait pas besoin que Tony le lui rappeler. Le t-shirt et le boxeur que portait Tony, donné à Gibbs que peu de protection contre la chaleur croissante du corps de l'autre homme. Et le corps de Gibbs l'avait déjà remarqué et avait répondu presque immédiatement. Ajouter que Tony était constamment en mouvement, le mettait dans une position inconfortable.
« Es-ce-que tu essaye de me pousser à nouveau ? » Demanda Gibbs la voix ressemblant à un grognement.
« Non, je veux dire que je suis vraiment surpris. » Tony s'arrêta. « Tu sembles si calme et détendu. Peut-être que tu as plus de contrôle que tu ne le pensais. »
Gibbs poussa contre Tony, les lèvres serrées à l'oreille de son compagnon. « Est-ce que tu pense vraiment que j'ai le contrôle là ? »
Tony poussa un gémissement et se lécha les lèvres, lorsqu'il sentit la queue dure de Gibbs se presser contre son cul.
« Dieu. Jethro. » Les mots coulait de la bouche de Tony alors qu'il atteint et saisi la nuque de Gibbs.
Tony, en utilisant son prénom, a provoqué une nouvelle sensation de désir chez Gibbs et il a de nouveau poussée sa bite contre Tony.
« Tony, ne faites pas cela. » Gibbs grogna et de nouveau poussa contre Tony. Il essayait de s'accrocher à la petite pièce de son esprit rationnel qui fonctionnait encore mais elle était de plus en plus défaillante. Ses lèvres ont chuté sur le cou de Tony, dévorant la chair molle pendant qu'il continuait de se perdre dans l'instant.
Tony poussait contre Gibbs.
« Tu n'a pas à m'embrasser pour en profiter… » Les pensées de Tony partirent en fumée lorsque la main de Gibbs glissa à l'intérieur de son boxeur. Tony senti son souffle s'échapper lorsqu'il sentit la main chaude s'envelopper autour de sa bite déjà bien dur.
« Jethro !» Le nom ne fut qu'un cri. La main de Gibbs était si chaleureuse et lui faisait tellement de bien. Ajouter à la sensation de Gibbs lui dévorant le cou. C'était tout simplement exaltant.
Les lèvres Gibbs furent à nouveau à l'oreille de Tony. « Je t'ai dit que je ne serait pas en mesure d'arrêter. "
« Alors ne le fait pas. » Répondit Tony, sa respiration de plus en plus laborieuse à mesure que la main de Gibbs caresse de haut en bas la longueur de sa queue.
« C'est tellement bon. » Gibbs gémit alors qu'il continuait à pousser sa queue contre le cul de Tony. Chaque poussée de ses hanches contre Tony poussait sa queue dans sa main.
« Dieu Jethro, je ne vais pas durer. » Tony sentait déjà qu'il allait exploser, il était de plus en plus proche. « C'est trop… Depuis si longtemps… Je te voulais depuis si longtemps. »
Les mots déchiraient Gibbs, lacérant sa poitrine et son cœur. Il savait que Tony l'avait voulu, probablement pour plus longtemps que Gibbs ne le soupçonne. Et Gibbs avait voulu Tony depuis plus longtemps qu'il ne le reconnaîtra jamais. Ils avaient besoin de cela, besoin de cette libération et Gibbs ne voulait rien de plus que de la lui donner et de la prendre. La main de Gibbs a serrée la queue de Tony et pompé plus vite alors qu'il a continué à pousser dur contre Tony.
« Si proche aussi, Tony. » Grogna Gibbs. « Viens, maintenant. »
Gibbs senti le corps et la queue de Tony se tendre lorsqu'il atteint sa libération.
« Jethro ! » Tony a crié et son corps a convulsé.
Gibbs poursuivi ses poussées contre Tony et lorsqu'il en entendit son nom dans la bouche de Tony, il laissa la tempête s'abattre sur lui. Il a poussé dur une dernière fois et sentit son corps céder. L'intensité de sa libération causa à Gibbs de s'effondrer tout simplement contre Tony.
Tony écouta le bruit de la respiration de Gibbs, passant de rapide et erratique à profonde et calme. Il ne voulait pas parler, il voulait laisser la respiration de Gibbs l'endormir, mais il savait qu'il devait accepter les conséquences de ses actes. Il avait poussé Gibbs et il n'était pas sûr de sa réaction. Gibbs voulait profiter, y aller lentement et ce qui s'était passé ne l'avait ralentit. Tony n'avait jamais été bon pour ralentir, et avec Gibbs. Il lui avait dit la vérité un peu plus tôt. Il voulait l'homme depuis si longtemps que de l'attente lui donner des nœuds à l'estomac.
Le contact des lèvres de Gibbs sur son cou le fit trembler et il se pencha sur le toucher.
« Ne fais plus jamais ça. »
Tony sourit à la voix pleine de désir, et non de colère.
« J'avais besoin de quelque chose, n'importe quoi. » A dit Tony en toute honnêteté.
« Je sais. » Gibbs a chuté un autre baiser sur le cou de Tony.
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Tony s'agita dans son sommeil et sentit un corps contre lui. Il avait chaud et il se sentait bien avec les bras encerclant sa taille. Son esprit dériva pour essayer de recoller les morceaux d'où il était et avec qui il était. Il n'était pas dans son lit, ça il le savait puis enfin ça l'a frappé. Ses yeux injectés se sont ouvert et son corps s'est tendu.
Gibbs a senti la tension dans le corps de Tony.
« Hey, ça va ? » Dit Gibbs doucement à l'oreille de Tony.
Le corps de Tony se détendit aux images de la nuit dernière qui traversa ses pensées. L'image de ce qui s'était passé au lit, lorsqu'ils avaient passé ce qui semblait être une heure sous la douche, verrouillé dans chaque bras de l'autre. Tony poussa un soupir de satisfaction.
Gibbs posa un baiser sur l'épaule de Tony.
«Dieu, comment ne pas se sentir bien…. » Répondit Tony avec un sourire.
Gibbs en riant. « Confus ? »
« Um hum. » Tony marmonna à moitié, plaça son bras autour de celui autour de sa taille et verrouilla ses doigts dans ceux de Gibbs.
« Sais-tu quelle heure il est ? »
« Je m'en fous. » Tony soupira. « C'est samedi, donc ce n'est pas grave. »
« Donc, nous allons simplement rester au lit toute la journée. » Gibbs sourit.
« Si tu veux mon avis. Oui. » Tony tira Gibbs plus près pour essayer de le convaincre.
« Que dit-tu de rester au lit et je vais faire du café et un petit déjeuner pour nous ? »
« Non. » Dit Tony sèchement.
« Mais je suis réveillé. »
Tony a poussé ses hanches et sentit la queue dure de Gibbs. « Je vois ça. »
« Ce n'est pas ce que je voulais dire. » Dit Gibbs en secouant la tête et en se tirant en arrière.
Tony pris et dirigea la main de Gibbs sur propre bite dure. « Moi aussi. »
« Tony. » Gibbs aboyait, mais ne retira pas sa main.
Tony soupira. « Très bien. »
Tony lâcha la main de Gibbs et sourit à lui-même quand il a pris quelques instants avant qu'il ne l'enlève.
« Dors. Je te réveillerai lorsque je reviendrais avec le petit déjeuner. »
« Très bien. » Dit Tony en se saisissant de son oreiller.
Gibbs glissa hors du lit après avoir placer un baiser sur la joue de Tony. Tony dormait déjà alors que Gibbs faisait son chemin dans les escaliers.
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Gibbs a ouvert la porte et entra dans le salon.
« Hey. » Tony sourire depuis le canapé.
« Je ne m'attendais pas à ce que tu sois levé. » Dit Gibbs en faisant son chemin avec le sac de nourriture.
Tony était allongé de tout son long sur le canapé. Gibbs frappa les jambes et Tony les leva laissant Gibbs glisser dessous.
« Burritos j'espère. »
« Oui. » Répondit Gibbs en lui remettant et en prenant un pour lui.
Lorsque Tony commença à déballer son burritos, il sourit. « Vais-je réellement finir mon repas aujourd'hui ? »
« Dépend de toi. » Déclara Gibbs en prenant une bouchée.
« Je vais essayer de me bien me comporter, le temps au moins que je finisse. »
Gibbs jeta un regard sur lui. « Tu pense pouvoir finir ? »
« Je vais essayer. » Tony sourit.
Gibbs mangea avec une main de l'autre jambe de Tony le caressant doucement de haut en bas.
Tony regardait Gibbs mangeait son burrito, l'air de rien.
Lorsque Tony réussit par avaler sa bouché, il pu enfin parler. « Es-ce-que tu teste mon contrôle maintenant ? »
« Quoi ? » A dit Gibbs tentant l'air innocent.
« Ne m'oblige pas à me déplacer ! » Tony fronça les sourcils.
Gibbs glissa sa main un peu plus haut sur la cuisse de Tony.
« Je ne plaisante pas ! »
Encore une fois la main de Gibbs glissa plus loin.
« Bon ça suffit ! » Tony mit son burrito sur la table et poussa Gibbs sur le canapé.
« Qu'ai-je fait ? » Gibbs sourit.
Tony saisi le burrito de Gibbs et le jeta sur la table.
Avec les deux mains libres Ton, épingla Gibbs avec ses bras au dessus de sa tête et s'allongea sur lui.
« J'essaie d'être sage et manger mon repas et toi, tu me cherche ! » Tony se mit à rire
« Et je t'ai eu là où je voulais que tu sois. » Répondit Gibbs qui embrassa Tony.
Tony se tira vers l'arrière. « Non, ça ne va pas se passer comme ça. Je ne vais pas te permettre de gagner. »
Tony a essayé de garder sa tête hors de portée de Gibbs.
Ils étaient tous deux hilare puis Tony a finalement cédé et placé un petit baiser chaste sur les lèvres de Gibbs.
Tony souri. « Quand es-tu devenu Monsieur ludique ? »
L'attitude et l'humeur de Gibbs surprenait énormément Tony. Il y avait un côté de l'homme que Tony n'avait jamais vu.
« Depuis que je veux jouer avec toi. » Gibbs sourit et détendit Tony dans un baiser.
Tony laissa le baiser continuer pendant un moment puis s'est retirée. « Je ne vais pas permettre que tu t'en sorte comme ça. »
«Je pensais l'avoir déjà fait. » Gibbs sourit. « Tu es au dessus de moi. »
« Tu me veux au dessus ? » A dit Tony avec un éclat dans ses yeux.
« Je suis sûr que je te voudrais dans n'importe quelle manière. »
« Je te fais confiance pour ça. » Tony sourit lorsque Gibbs le tira un plus loin dans ses bras.
« Que dirais-tu d'aller pêcher. »
« Pêcher ? » Tony était confus.
«Aujourd'hui. Pêche. Toi. Moi. »
« Et je répète. Pêcher ? »
Gibbs rigola. « Oui. »
Gibbs brossa un cheveu errant du front de Tony ensuite traça un chemin sur sa joue. «J'ai besoin de me concentrer sur autre choses que toi. »
« Ah c'est donc une distraction. » Tony sourit.
« C'est ce qu'on appelle passer du temps ensemble. »
« D'accord ». Tony s'arrêta. « Et je parie que tu as un bateau, quelque part, autre que celui dans ton sous-sol."
« En effet. » Gibbs hocha la tête.
Tony soupira. « Alors je suppose que je devrais aller m'habiller. »
« Si tu ne veux y aller, nous pouvons faire autre chose. »
« Non » Tony sourit. « Mais tu dois te rappeler que je n'ai pas été à la pêche depuis mes dix ans. »
« C'est comme faire du vélo. » Gibbs a souri.
« Rappelle-toi de mes paroles lorsque tu décrochera l'hameçon de mes yeux. »
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« Sérieusement comment veux-tu que j'attrape un poisson si tu me donne cet appât répugnant. » Dit Tony agacé.
« Non. » Gibbs secoua la tête. «c'est parce ce que tu es trop lent à l'enroulement, tu le laisse glisser sur le fond."
« Pourquoi on n'utilise pas tout simplement les vers ? »
Gibbs mit sa canne vers le bas et arriva derrière Tony. « Là. Rembobine. »
Tony fit comme il lui dit. Gibbs se tenait derrière Tony et mit la main sur les mains de Tony, puis sur la bobine. « J'aime lorsque tu es là. »
En utilisant sa main pour guider Tony, il a mis une vitesse sur la bobine. « Ressent la, pas trop vite, ni trop lentement. »
Puis Tony sentir un poids lourd au bout de sa ligne.
« Oh merde, merde ! »
Gibbs recula lorsque Tony tentait désespérément de sortir la ligne hors de l'eau. Lorsque le poisson atteint le bateau, Tony riait.
« Ha ya ! Je l'ai eu mon petit poisson ! » Tony s'est tourné vers Gibbs et le poisson.
Gibbs était souriant et inclina la tête vers Tony. « Et maintenant ? »
« Que veux-tu dire et maintenant ? »
« Tu le garde ou tu le relâche. » A demandé Gibbs.
Tony mordit la lèvre inférieure comme s'il s'agissait d'une question de vie ou de mort pour lui et non pas le poisson.
Gibbs secoua la tête, se dirigea et enleva le poisson de la ligne et le rejeta dans l'eau.
« C'est juste un poisson, Tony. » Dit Gibbs alors qu'il s'essuyait mes mains.
« Eh bien, M. Poisson pourrait avoir une famille de poissons là-dedans. » Tony s'arrêta. « Petite Fishette. »
« Remet ta canne à l'eau. »
Tony sourit. « Montre-moi à nouveau. »
Gibbs regarda Tony. Gibbs ne pouvait rien lui refuser lorsque Tony le regardait avec ce sourire.
« Relâche un peu. » Dit Gibbs et revins derrière Tony. Encore une fois Gibbs plaça sa main sur celle de Tony et essaya de lui montrer la bonne vitesse.
Tony s'adossa sur Gibbs. Il aimait la façon dont son corps pouvait simplement se fondre dans celui de Gibbs comme si ils étaient faits pour s'assembler.
La main gauche de Gibbs quitta la bobine et s'enroula autour de la taille de Tony, profitant simplement de tenir l'homme dans ces bras. Tout était trop facile avec Tony. Il était trop facile de le toucher, de le vouloir, d'avoir besoin de lui et autant que cela faisait peur à Gibbs, il était trop facile de l'aimer.
« Tu te rends compte que je ne soucie plus des poissons ? » Questionna Tony.
« Oui. » Gibbs sourit.
« Et que je ne veux plus attendre. »
« Oui. »
« Je me fous de savoir si c'est dans la journée, pendant le week-end ou autre chose. » Tony s'arrêta. « Je veux juste que me baise, me fasse l'amour, que nous ayons des rapports sexuels, appelle le comme tu veux.. »
Tony ne prenait plus de gant, il ne se soucier plus de savoir s'il allait trop vite et que cela pourrait faire dérailler le train, que Gibbs ne change pas d'avis. La seule chose qui importait en ce moment, c'est leur amour et sa décision.
Les lèvres de Gibbs touchèrent l'oreille de Tony. « Tu sais que je veux plus de toi qu'une baise rapide. »
Tony hocha la tête.
Gibbs pris la canne à pêche de la main de Tony et la posa à l'écart. Lorsque Gibbs a enveloppé ces bras autour de Tony, Tony se retourna. Ses yeux verts rencontrèrent ses yeux bleus.
Tony était déjà balayé par le désir. Ses yeux presque noirs, ses lèvres pulpeuses et son corps contre Gibbs. C'était la plus belle chose que Gibbs avait jamais vu.
« Tu te rends compte que je ne pourrais jamais te refuser quoi que ce soit lorsque tu ressemble à ça. » Déclara Gibbs, son regard fixe sur Tony.
« N'importe quoi ? » Tony, involontairement, se lécha les lèvres et fit glisser ces mains sur les boutons du jeans de Gibbs.
L'aspect bestial dans les yeux de Tony fit réagir la queue de Gibbs rendant son jeans soudainement inconfortable. Gibbs sentit le bouton céder et entendit la descente de la fermeture éclair. Gibbs a saisi la main de Tony qui était sur le point de glisser dans son boxeur. Tony regarda Gibbs avec une expression déçu et blessé sur son visage. Le regard fit sourire Gibbs. Tony était debout là, ressemblant à un enfant qui venait d'être privé de son jouet préféré. Gibbs se pencha et plaça un rapide baisé sur les lèvres de Tony.
« Je veux simplement profiter de l'intérieur du bateau. »
Tony se détourna, une expression timide sur son visage.
Gibbs a conduit Tony vers la petite portion couverte de l'embarcation.
Tony avait déjà vu l'intérieur du bateau. Petit, une petite table, un réfrigérateur, pas grand-chose. Mais cette fois c'était différent. Un matelas futon est sur le plancher avec des oreillers jetés sur lui et une couverture.
Tony sourit. « C'est très cosy. ».
Gibbs était déjà tiré Tony en arrière dans ses bras. «J'ai effectivement décidé que nous dormirons ici ce soir. » Il sourit. « Mais ce n'était pas prémédité. »
« Encore une fois. J'adore. » Dit Tony alors qu'il laissa ses mains à nouveau sur le jeans de Gibbs. Gibbs lui attrapa les mains à nouveaux pour l'arrêter.
« Met tes bras en l'air. » Gibbs hocha la tête.
Tony fit comme il lui à ordonné et Gibbs tira son pull au dessus de sa tête. Les yeux de Gibbs erraient maintenant sur la poitrine nue de Tony. Cette fois, lorsque les mains de Tony sont allées à son jeans, Gibbs n'a fait aucun mouvement pour l'arrêter. Comme Tony a pris contact, il a parlé.
« Allonge-toi ».
Gibbs lui donna un coup d'œil Tony un peu perplexe.
« Il y a quelque chose de très sexy d'avoir son homme tout habillé pendant que tu lui suce la queue. » Tony s'arrêta, car Gibbs avala durement sa salive. « Donc, allonge-toi. »
Gibbs est descendu sur le matelas et se coucha sur le dos les yeux toujours fixés sur Tony. Tony avait toujours ce regard bestial et c'est encore plus accentué lorsqu'il est descendu et a rampé jusqu'à corps de Gibbs. Il s'est arrêté à l'aine de Gibbs et sourit.
« Soulève-toi, juste un peu. » la voix de Tony était séduisante et un peu autoritaire.
Gibbs l'écouta sans poser de question. Il leva les hanches, Tony glissa son jeans en bas en caressant sa bite dure. Gibbs poussa contre le tissu de son boxeur lorsque Tony laissa ses doigts l'effleurer. Un petit gémissement s'échappa des lèvres de Gibbs à ce contact.
La main de Tony se glissa dans l'ouverture à l'avant du boxeur de Gibbs, tirant sur sa queue. Encore une fois Gibbs gémit. Le son alimenta la faim de Tony et Gibbs vit tout espoir d'y aller lentement disparaitre. Au contraire, il s'affaissa sur la bite de Gibbs en savourant le goût de son amant.
«Merde ! » Gibbs n'était pas préparé pour le zèle avec lequel Tony l'agressa et avait le sentiment d'être dépassé par ses sens. La bouche de Tony était chaude et douce, qui accepté l'intégralité du sexe de Gibbs en un seul mouvement. Gibbs griffait le matelas, ayant le besoin de garder les pieds sur terre grâce quelque chose. Cela aurait marchait si Tony n'avait pas commençait à se déplacer de haut en bas sur sa queue. Au lieu de cela, Gibbs tombait dans l'abîme qu'était Tony. Par inadvertance, Gibbs ferma les yeux, en se concentrant sur le mouvement de la bouche de Tony.
Avec une main à la base du sexe de Gibbs et l'autre sur la hanche, Tony s'alimentait de l'autre homme avec une faim insatiable. Et il était insatiable. Il avait désiré Gibbs depuis si longtemps, rêvant de tout ce qu'il lui ferait s'il lui en laissait la possibilité. Ce n'est qu'un petit morceau des milliers de rêves que Tony voulait remplir. Et s'il en avait l'occasion, Tony essaierait de vivre chacun de ces rêves. En ce moment, Tony était concentré par le goût de Gibbs. Il était un savant mélange de musc, de douceur salée et d'un doux parfum de son savon. Son goût était quelque chose que Tony ne pourra jamais oublier.
Le plaisir a continué de monter et Gibbs a sentait le besoin de se libérer de plus en plus proche. Tony avait apporté un intense désir ainsi que la nécessité de plus en plus rapide que Gibbs d'y mette fin avant qu'il ne perde le contrôle. Il voulait plus que cela, et ne voulait pas finir de cette façon ce soir et que Tony le termine comme ça.
« Tony ». Le nom était faible et Gibbs a placé sa main sur l'épaule de Tony pour renforcer ce que sa voix a essayé de transmettre.
Tony ne voulait pas arrêter, il aurait voulu pousser Gibbs sur le bord et avoir le goût de sa libération dans sa bouche, mais il savait aussi que ce n'était que le début de ce qu'ils voulaient tous les deux. Cette pensé obligea Tony à ralentir et de se retirer. Quand la bouche de Tony quitta la le sexe de Gibbs, celui-ci ressentit un sentiment de grande perte.
Tony tira sur le boxeur de Gibbs et Gibbs se leva, permettant à Tony d'enlever son pantalon et son boxeur en cour de route. Puis il a rampé vers le haut du corps de Gibbs, ses mains poussèrent sous le pull de Gibbs. Gibbs a saisi son sweat-shirt et il le tira au dessus de sa tête et dès qu'il a été mis de côté, Tony écrasa ses lèvres contre celles de Gibbs. Leurs passions se rencontrèrent et ils se sont enveloppés dans les bras de l'autre. Gibbs roula en dessus alors qu'il continuait à honorer les lèvres de Tony. En retour, Tony griffait Gibbs comme s'il essayait de ramper sous la peau de Gibbs. Les mains de Gibbs quittèrent Tony et s'orientèrent vers sa ceinture. La ceinture a finalement cédé et Gibbs a travaillé sur le bouton, puis la fermeture éclair du jean. Ses mains sur les hanches de Tony, déchirèrent le jeans. La frénésie de vouloir Tony nue sous lui, lui fit arracher le jeans et le boxeur en un seul mouvement.
Une fois retiré, Gibbs laissa ses yeux scruter le bas du corps nu de Tony. Et cette vue alimenta le désir de Gibbs déjà incontrôlable.
Tony respiration était en lambeaux et se sentait rougir encore plus sous le regard de Gibbs.
« Tu es magnifique. » Gibbs fit une pause. « Si beau. »
L'honnêteté dans les yeux de Gibbs et ses mots fit rougit un peu plus Tony.
« S'il te plaît. » Avait plaidé Tony en enroulant sa main autour du cou de Gibbs et le tirant vers le bas.
Gibbs avait ravagé la gorge de Tony, pinçant et l'embrassant de sa gorge à la poitrine. Alors que ses mains caressaient les côtés de la poitrine de Tony, ses lèvres embrassaient un sentier jusqu'au nombril. Le corps arqué, Tony était tendu contre les lèvres de Gibbs à chaque contact. Lorsque Gibbs lui baisa le corps lors de la remontée vers le visage de Tony, sa main caressa le visage du jeune homme. Leurs yeux se rencontrèrent et Tony vit une question dans les yeux de Gibbs.
« Dis-moi ce que tu veux. » La voix de Gibbs avait faim. Gibbs ne connaissait pas l'histoire sexuelle de Tony avec les hommes. Il ne savait pas si c'était la première fois ou non. Et de toute façon, il ne savait pas à quel point l'expérience avait disparu. Il était nécessaire pour Gibbs de savoir s'il voulait aller plus loin.
Les lèvres de Tony sont allées à l'oreille de Gibbs. « Je veux que tu enterre ta bite à l'intérieur de moi. »
« Dieu Tony. » Les mots créé une obsédante image dans l'esprit Gibbs.
Tony dériva de l'oreille de Gibbs et le regarda de nouveau dans ses yeux. « Sac à dos ? »
Gibbs regarda Tony pendant une minute.
« Où il est ? »
Gibbs regarda à côté d'eux.
Tony tendit le bras et atteint la poche de devant et en sortit une petite bouteille de lubrifiant.
« Avec préméditation ? » A demandé Gibbs en levant les sourcils.
« Espoir ». Tony sourit.
Gibbs traça un doigt sur les lèvres de Tony. « Je t'ai voulu dés la minute où je t'ai embrassé. »
Tony embrassa le doigt de Gibbs. « Alors, qu'attends-tu pour me prendre. »
Gibbs se coucha sur le côté de Tony. Il pressa son corps contre Tony et posa sa main sur sa hanche. Tony roula de son côté, dos à Gibbs. Ouvrant la petite bouteille, Gibbs plaça quelque noisette de lubrifiant dans sa main avant de frotter de haut en bas sa queue.
Tony senti glisser la main de Gibbs de sa taille et sentit son bras se resserrer autour de lui. Tony gémit lorsqu'il sentit la bite dure de Gibbs pressée contre lui.
« Jethro. S'il vous plaît. »
Gibbs se décala légèrement pour se positionner contre Tony. Doucement, il a poussé la tête de sa queue dans Tony, son corps aux prises avec des petites sensations incroyable. Gibbs déposa un baiser sur l'épaule de Tony.
Tony gémit. « Plus, Dieu, s'il te plaît plus. »
Gibbs a poussé plus loin en essayant d'y aller lentement et de ne pas laisser le désir l'accabler. Tony se sentais si bien avec sa queue en lui qu'il voulait perdre le contrôle. Encore une fois, encore plus loin.
« S'il te plais. » Tony gémit de nouveau, en quémandant plus. Son besoin était déjà trop grand et il avait besoin de sentir Gibbs pousser plus fort en lui. Gibbs estima qu'il pouvait avancer de nouveau, Tony anticipa et alla contre lui. Gibbs s'enfonça en lui jusqu'à la garde.
« Tony ! » Gibbs resserra ses bras autour Tony. Agressé par la sensation d'être enterré à l'intérieur de Tony.
Mais Tony ne l'entendait pas de cette oreille et s'avança légèrement. Il fit grogner Gibbs que le désir alimentait d'une façon animale. Il a laissé toute pensée rationnelle filer lorsqu'il se cramponna à Tony et a perdu le contrôle. Gibbs poussée vers l'avant puis vers l'arrière rencontrant Tony à chaque poussée. Tony attrapa la main de Gibbs sur sa hanche et se crispa tentant de lui faire comprendre qu'il voulait plus. Il a réussi à faire lui faire comprendre et Gibbs poussa plus dur et plus vite.
« Oui ! Dieu oui !» La voix de Tony était fragile et plein de convoitise.
Gibbs ne pouvait pas s'arrêter, ne pouvait pas en avoir assez. Il était tellement bien ici, avec Tony perdu, dans le bonheur de lui faire l'amour. Il glisse sa main de la taille de Tony à sa queue et l'enveloppa. Chaque poussées de Gibbs dans Tony entraînait un mouvement de la queue de Tony dans sa main. C'était comme un cercle sans fin de sensation.
« Oh…c'est tellement bon. » Dit Gibbs à l'oreille de Tony. « Tellement bon. »
Tony pouvait à peine respirer tant la tension avait augmenté en lui, mais il ne voulait pas céder, il voulait durer. Voulait continuer à sentir le sexe de Gibbs plonger en lui et à sentir la main chaude de Gibbs autour de sa queue. Il fallait que cela dure, mais son corps l'a trahi, et menaça de basculer vers l'extase.
« Jethro. » Ce fut le seul mot qu'il pu dire lorsque l'orgasme déferla sur lui et fit convulser son corps. Son corps refusa de se calmer, encore en vie avec le sexe de Gibbs, pompant toujours en lui, le faisant crier encore plus.
Entendre et voir l'orgasme de Tony, rapprochèrent Gibbs du sien. Sa poussée était devenue plus longue et plus profonde alors qu'il s'approchait du bord. Tony était toujours gémissant de plaisir, et avait encore ses doigts bien accroché à la hanche de Gibbs, repoussant toujours contre lui. Il sentit la vague fondre sur lui et il se précipita dans Tony une dernière fois. Sa jouissance déferla sur lui et il cria le nom de Tony, tout son corps en trembla puis il s'effondra.
Tony pouvait se déplacer, mais ne pouvait pas parler. Combien de temps cela avait-il duré ? Il n'était pas sur que son propre corps réponde à toutes les commandes. Gibbs était silencieux et immobile. Mais Tony pouvait sentir le bras autour de sa taille et le doux contact de ses lèvres sur son épaule. Même ses touches mineures fit tressaillir le corps de Tony. Un autre baiser. Tony sourit. Et un autre. Un petit rire s'échappa de Tony. Et encore un baiser, celui-ci sur le cou de Tony.
« Ne parle pas encore. » Dit Tony.
Gibbs en riant. « Très bien. »
« Et même si je pouvais parler. Que puis-je dire à ce sujet. » Tony sourit.
« Incroyable. »
« Un peu arrogant, tu trouve pas. » Tony ria.
« Non je voulais dire que TU es incroyable. » Un autre baiser sur le cou.
« C'est juste le post-orgasme qui parle. »
Gibbs en riant. « Vraiment ? »
« Oui, et d'ordinaire, cela ne va pas durer. » Tony s'arrêta. « Je suppose qu'il n'y a pas de douche sur ton bateau. »
« Si, il y en a une. »
Tony tourna la tête vers Gibbs. « Sérieusement ? »
Gibbs hocha la tête.
« Eh bien. Allons-y. » Tony sourit.
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