Lydia Shilder : Hahaha ! Non je vais garder l'adresse de ma demeure secrète parce qu'avec le nombre de gens qui ont manifesté le désir de me tuer…Je ne ferai pas long feu à mon avis ! Mais effectivement, vous faire souffrir plus longtemps serait inhumain ! Allez, je vais être clémente et vous laisser profiter de la suite !

Nemesis : Eh bien je peux dire que je suis heureuse de t'avoir suffisamment touchée pour que tu ais le courage/l'envie de me laisser un petit mot ! C'est avec plaisir que je le lis et je suis très contente que mes écrits te plaisent ! Et pour me parler, bien entendu je suis dispo ! Que ce soit toi ou tous les autres lecteurs, je serais vraiment heureuse d'avoir des échanges avec vous ! :3

Laura -067 : Haha à mon avis cette panthère teigneuse ne souhaite pas vraiment se rapprocher des autres, mais plutôt avoir le tigre pour lui tout seul ! C'est un jaloux possessif et un brin narcissique doté d'un étrange manque de confiance en lui !

Hachiiko : J.A.M.A.I.S il ne perd jamais le Nord ! Faut pas croire derrière ses sourires angéliques, il reste un homme ! Et quel homme fufufu !

Scorpio-no-Caro : Je suis ravie de compter une nouvelle lectrice ! Et aussi merci à toi pour tes conseils que j'ai pris au sérieux et pour lesquels j'essaierais de m'améliorer ! J'avoue délaisser parfois les descriptions pour laisser plus de place au personnage, c'est un défaut que j'essaierais de corriger ! Ensuite j'ai remarqué que tu avais eu des idées pour lesquelles je me suis exclamé : Ho non j'aurais pensé à ça, ça aurait été génial xD ! Comme quoi, l'échange entre lecteurs et auteur est vraiment important ! Je pense garder quelques unes des suggestions qui m'ont été faite pour l'avenir ! Et pour le coup j'ai apprécié que tu laisses un commentaire à chaque chapitre, c'était avec plaisir que je les ai lu ! =)

Maxine Darnedi : Mercii ! Je n'irais pas jusqu'à la perfection, mais ça me touche vraiment beaucoup ^^ !

Vargasfamiglia : Haha pour la suite, je pense que tu ne vas pas être déçue ! Pour les autres couples, je ne sais pas vraiment si on les recroisera puisque l'histoire touche à sa fin !

Maryry : Hahaaaaaaaaa c'est un secret - ! Quoi qu'il en soit, les suggestions restent ancrés dans ma tête et même si elles ne sont pas forcément utilisées ici, elles le seront ailleurs )

AmbreKuchiki47 : Merci beaucoup Moi aussi je les adore ces deux-là ! J'espère faire un peu plus d'adepte à travers le MONDE MOUHAHAHA….*Ahem* Pardon pour cet instant d'égarement …


Après trois jours d'hospitalisation, le pompier fut enfin libéré et il pu rentrer chez lui. Il souffla de soulagement lorsqu'il s'allongea dans son lit douillet, bien loin de l'inconfortable matelas rude de l'hôpital. Ces trois jours avaient été un vrai cauchemar, tous étaient passés les uns après les autres, l'engueulant à tour de rôle pour les avoir inquiété et d'avoir été distrait pendant son intervention. Contrairement à ce qu'il pensait, ce n'était pas Midorima qui se trouva être insupportable, mais ce renard de Takao. Kagami posa son avant-bras devant ses yeux, fatigué rien qu'en repensant à son séjour. Heureusement qu'Aomine venait dès qu'il sortait du travail, rien que sa présence et son regard de prédateur pouvaient taire les taquineries de l'œil de faucon. Aomine. Il s'était toujours précipité pour venir dans sa chambre et passer le plus de temps possible avec lui. Mais à présent il devait rattraper les heures de travail qu'il avait loupé pour le rejoindre. Le pompier soupira une nouvelle fois, il était suspendu pour une semaine sous les recommandations de Midorima. Une semaine ! Mais qu'est-ce qu'il allait bien pouvoir faire pendant tout ce temps ?

- Et tu ne dois pas faire de sport, ni d'exercice trop intense et ce, pendant au moins une semaine !

La voix du médecin résonna dans sa tête comme une punition. S'il ne pouvait pas travailler, ni jouer au basket. En plus Aomine n'était plus disponible… Franchement quelle perte de temps !

Cinq jours plus tard, Kagami était à bout de nerf. Il se sentait dépérir dans son appartement à jouer aux jeux vidéo ou bien lire ses magazines de basket, il voulait sortir. N'y tenant plus, il décida de sortir se balader en ville, histoire de prendre un peu l'air. Il marcha tranquillement jusqu'au centre ville, les magasins se succédaient lorsque tout à coup, Kagami s'arrêta net. Il s'approcha de la vitrine et resta figé devant celle-ci. Il posa sa main contre le verre et son visage se transforma en une expression de joie, il s'y précipita à l'intérieur et il en ressortit un paquet en main. Soudain, son portable vibra. Il chercha précipitamment son appareil dans sa poche et l'en sortit à temps pour décrocher.

- Allô ?

- Taiga, c'est moi. J'ai fini mon taf, on se voit ?

- Et comment ! Je m'ennuie tellement, c'est infernal !

- Oh ? Tu m'attendais alors ? Susurra sa voix délicieusement suave.

Le pompier devina même le sourire qui se dessinait sur ses lèvres alors que sa voix devenait un peu plus grave. Un délicieux frisson lui parcouru l'échine et une terrible envie de l'affronter se fit sentir.

- ça te dit un 1 On 1 ? Proposa le pompier.

- Ce n'est pas recommandé pour ton état ! Rouspéta le policier.

- Allez, c'est bon je me sens très bien maintenant. Et si je ne joue pas au basket je vais devenir fou.

- Taiga…. Averti Aomine.

- Tant pis, je vais jouer contre Kise alors…Lança-t-il en sachant pertinemment la réaction qu'aurait son interlocuteur.

- Qu.. ? Ok. J'ai compris…Grogna Aomine sous la contrainte, maudissant sa jalousie. Mais je ne vais pas me retenir, convalescent ou pas !

- Je n'en attendais pas moins de toi. Répondit Taiga en souriant.

- Mais cette fois, je choisis où on s'affronte ! Je passe te chercher chez toi à 6h00, ça te va ? Demanda-t-il.

- Ouais, ça marche. Sois pas en retard !

Taiga raccrocha, le sourire aux lèvres. Il baissa un instant les yeux vers le paquet qu'il tenait avant de prendre le chemin du retour. Arrivé à son appartement, il prépara son sac de sport dans lequel il y rangea des vêtements de rechange, une serviette, une bouteille d'eau et son ballon. Soudain, son téléphone vibra, intrigué il lu le texto qu'il venait de recevoir. Kagami leva un sourcil interrogateur, visiblement perplexe par ce qu'il y avait d'écrit. Il haussa les épaules et referma l'appareil avant d'ajouter des affaires dans son sac. Il ferma le tout et alla se doucher rapidement. Sortant de la douche, il enfila une tenue de sport. Son interphone se mit à sonner et il jeta un rapide coup d'œil à l'horloge. 6h00. Il était ponctuel au moins. Il descendit précipitamment, pressé de le revoir. Aomine était là, attendant adossé contre sa voiture.

- Yo ! Salua Kagami en contournant le véhicule pour atteindre le côté passager.

Daiki quant à lui entra dans la voiture avant de mettre sa ceinture de sécurité.

- Alors, où est-ce qu'on va ? Demanda le pompier.

- Chez moi.

- Quoi ?! Mais…

- Il y a un terrain de basket juste à côté. Ce sera toujours plus proche que celui de ton quartier.

- D'accord.

La voiture démarra et les emmena au lieu dit. L'endroit était très tranquille, loin des habitations. Le terrain était entouré de grillages et de végétation, si bien qu'on se serait dit en pleine campagne. Le seul bâtiment à proximité était une maison, sûrement celle d'Aomine selon ses dires. Kagami fut surprit. C'était en réalité la première fois qu'il voyait où habitait le policier et il ne put empêcher son cœur de battre plus vite, excité à l'idée d'en apprendre plus sur ce mystère qui était sa vie.

- C'est ta maison ? Demanda Kagami, impressionné par le bâtiment.

- Ouais. Je te ferai visiter après, je crois qu'on a un match à jouer, non ?

- Tu es bien pressé de perdre ! Taquina le pompier en lui adressant un sourire hautain.

- Je suis d'avis de corser le jeu. On parie sur le vainqueur ? Demanda Aomine en souriant de toutes ses dents.

- Pourquoi pas. Répondit Kagami en déposant son sac sur le bitume. Mais je te préviens, je me battrais comme un tigre. Avertit-il en baissant la fermeture éclair de son sac avant de prendre le ballon dans ses mains. Le gagnant donne un gage au perdant ? Proposa-t-il en driblant.

- L'idée me plaît. Si je perds, que veux-tu que je fasse ?

- Il doit faire tout ce que le vainqueur désire ? Demanda Kagami.

- Absolument tout. Répondit Aomine en souriant de façon indécente. Alors, qu'est-ce que tu veux ?

Kagami hésita. Ses yeux se firent un peu fuyants alors que ses joues se tintèrent de rouge.

- Que tu portes…Ton uniforme… Répondit-il d'une voix peu sûre de lui.

Aomine écarquilla légèrement les yeux de surprise mais sourit bien aussitôt. La réclamation du pompier l'avait surprit certes, mais l'idée était aussi très excitante.

- Très bien, si tu gagnes, je le porterai.

- Maintenant, à toi. Dis-moi ce que tu veux. Demanda Kagami en levant un sourcil.

- Tu ne le sauras que lorsque j'aurais gagné. Répondit le policier en souriant.

- Quoi ?! C'est pas juste ! Se plaignit le pompier. Je te l'ai bien dis, moi !

- Si tu veux vraiment savoir. Perds. Défia Aomine avec un regard perçant.

- Comme si j'allais te laisser faire. Manche en trois points. Le tout pour le tout !

- Allez viens. Je t'attends. Répondit Aomine en riant.

L'affrontement commença et tout deux entrèrent directement dans la zone. L'enjeu était très sérieux pour chacun d'eux, et aucun ne voulait perdre. Après dix minutes de jeu, Kagami ouvrit le score et marqua les deux premiers points.

- Haha, je crois que tu vas devoir porter l'uniforme ce soir. Je prendrai une photo de toi comme ça ! Rit Kagami alors qu'il dribblait.

- Tu ne devrais pas être aussi sûr de toi.

Aomine prit la balle et esquiva le jeune homme en tournant sur lui-même. Il accouru vers le panier mais Kagami apparu face à lui, presque comme s'il s'était téléporté. Aomine sauta en arrière et entra dans la zone des paniers à trois points. Comprenant ce qu'il avait l'intention de faire, Kagami s'élança, bondissant sur le policier avec un de ses sauts qui avait fait de lui une légende. Mais alors qu'il allait intercepter le tir, un terrible mal de crâne le prit si bien qu'il ne réussit pas à s'arrêter. Il tenta de prévenir le policier, mais il tomba sur lui. Aomine lança le ballon avant d'emprisonner le corps du pompier entre ses bras. Il heurta le sol mais protégea Kagami du choc. Le ballon quant à lui entra dans le panier, marquant les trois points.

- Taiga ! Est-ce que ça va ? Demanda Aomine, inquiet.

- O…Ouais. T'inquiète ça va. Mais toi ?

- Bakagami ! S'exclama soudainement le policier. Je t'avais dit que c'était encore trop tôt !

L'inquiétude visible d'Aomine rendit Kagami heureux et il se mit à rire.

- Aho, ça va je te dis. Et puis j'avais vraiment envie de jouer contre toi.

- Si c'est pour que tu retournes à l'hôpital…

- Je vais bien. Rassura Kagami d'une voix douce. Et…Tu as gagné.

Le silence revint aussitôt, tout deux se regardèrent bêtement alors que le ciel se tintait déjà de couleurs flamboyante, indiquant le coucher du soleil.

- Ah ! Intervint Kagami. Avant que tu me dises mon gage, je voulais te donner quelque chose.

Le pompier se releva et alla à son sac et en sorti un paquet. Il revint devant Aomine et lui tendit le cadeau.

- Tiens. C'est pour toi. Dit-il en souriant.

Touché, le policier n'eut pourtant aucun mot. Non pas qu'il n'en avait pas envie, mais plutôt parce qu'il ne s'avait pas réellement comment réagir, ni ce qu'il pouvait dire. Il déballa le papier et ouvrit la boîte. Le visage d'Aomine passa de la surprise à la tendresse. Dans la boîte, une superbe bague en argent et un collier assortie à celle-ci. Il releva les yeux vers le pompier et l'interrogea silencieusement.

- Je voulais juste concrétiser ce lien qui subsiste entre nous. Alors si tu le veux bien, je porterai ce collier, et toi, cette bague. C'est le signe qu'on ne sera jamais séparé.

Sans un mot, le policier enfila la bague à son indexe et prit le collier d'épais maillons d'argent et l'enfila autour du cou de Kagami.

- Tu es à moi. Et je suis à toi. Dit le policier d'une voix grave.

Oui, ce signe indestructible qui existait entre eux était maintenant visible et symbolisé par ces bijoux que tout deux porterait jusqu'ç la fin de leur vie. Kagami sursauta légèrement, comme s'il venait de se souvenir de quelque chose. Un peu gêné, il fit la moue.

- Et donc… Pour le gage…Qu'est-ce que tu veux ?

- …. Suis-moi, et je te le dirais.

Kagami le suivit jusqu'à sa demeure. Le policier ouvrit la porte et Kagami contempla le superbe intérieur dont le design épuré et très classe le surprirent. Cependant il n'eut pas le loisir d'observer son environnement de plus près, le policier l'entraina directement dans sa chambre. Le policier se rua immédiatement sur ses lèvres, l'embrassant sauvagement. Prit de passion, le pompier répondit à son attaque, ouvrant sa bouche. Leurs langues s'entremêlèrent dans une danse frénétique tandis que leurs mains parcouraient avec envie le corps de l'autre. C'est avec une grande précipitation qu'ils ôtèrent les vêtements de l'autre tout en cherchant à séparer leurs lèvres le moins de temps possible. Les vêtements étaient lancés à travers la pièce et jonchaient le sol en tas un peu partout dans la chambre.

Torse nu, ils se délectèrent de la peau brûlante qu'ils offraient à l'autre. Kagami fut le premier à baisser ses mains sur le bas de jogging du policier il glissa sa main sous le vêtement et malaxa une de ses fesses. Aomine quant à lui poussa le pompier qui tomba sur le matelas king size du lit, non loin de la table de nuit, puis il arracha le bas du jeune homme avant d'ôter le sien. Tout deux en boxer pour seul vêtement, ils reprirent leur baiser, allongé sur le lit. Leur bassin se frotta naturellement l'un contre l'autre, leur procurant une délicieuse caresse. Le pompier écarta légèrement les jambes pour laisser un total accès au policier, ce dernier ne se fit pas prier pour s'immiscer tout contre son amant, ondulant sensuellement contre son corps. Leur souffle était brûlant et leur regard de braise. Leur érection naissante se frictionnait avec ardeur, ravissant les deux hommes qui se perdirent dans de petits grognements de plaisir. Les mains du pompier attrapèrent fermement le fessier du policier et le tirèrent à lui, intensifiant la caresse. Pourtant Aomine se releva, à genou sur le bord du matelas, il contempla l'homme juste au dessous de lui.

La bosse qui déformait son sous-vêtement était impressionnante et excita le pompier qui dévora des yeux le membre. Il saisit de ses deux mains le tissu et le tira violemment vers le bas, dévoilant le sexe dur comme un roc de l'ancien as de Touou. S'humectant les lèvres d'appréhension, Kagami se releva légèrement pour passer sa main derrière la nuque du policier et le tira, échangeant leur position. A présent allongé sur le matelas, les jambes pendantes hors du lit et les pieds contre le sol, le policier devenait spectateur. Kagami enleva enfin son boxer, révélant à sont tour son membre tendu. Aomine tendit sa main vers sa table de nuit et en sortit un gel qu'il enduit dans ses mains. La préparation fut tendre et le pompier s'habitua rapidement aux doigts s'insinuant en lui. Lorsqu'il jugea qu'il était prêt, le pompier tourna le dos à son partenaire avant de s'empaler doucement sur son sexe. Il ne put s'empêcher de grimacer de douleur face à la présence de ce membre impressionnant qui le pénétrait mais il l'accepta entièrement en lui.

S'habituant enfin, le pompier se mit à faire de légers mouvements, s'appuyant sur les genoux de son amant pour accompagner ses ondulations du bassin. Aomine n'en revenait pas, non seulement il était en train de coucher avec Kagami, mais en plus de ça, ils faisaient des choses dont il n'avait jamais pu rêver de faire avec toutes les femmes qu'il avait connu. Le spectacle était indécent, offre au policier un angle de vue exceptionnel sur la pénétration et un panorama très excitant sur les fesses de Kagami. N'y tenant plus, il se mit à bouger en rythme avec lui. Mais bien vite, cette position, bien qu'excitante, ne satisfaisait plus la panthère qui demanda à être plus active. Il passa son bras autour de la taille de son amant et le tira à l'arrière, libérant son membre de sa prison de chair. Kagami, à quatre patte sur le matelas, Aomine se plaça à l'entrée une seconde fois et entra doucement à nouveau, décrochant un sensuel gémissement au pompier dont les doigts se crispèrent sur les draps.

Assis sur le côté, en appui sur un de ses bras et le genou contre le matelas, Aomine commença un va-et-vient à l'intérieur de Kagami. Lui, en appuie sur ses avant-bras, pimentait la pénétration en variant le rythme qu'imposait le brun. La jambe écartée du policier permettait une pénétration plus profonde, ravissant l'un comme l'autre. Les souffles se firent plus saccadés et les gémissements plus forts, les coups de reins de chacun étaient à présent secs et rapides à l'image de leur désir. Sentant la jouissance arriver, Aomine accéléra la cadence. Mais c'était sans compter Kagami qui désirait visiblement que l'échange dure plus de temps.

- Non…Souffla Kagami, pas encore.

Le pompier poussa le policier à l'arrière, le forçant à s'allonger sur le lit. Kagami reprit les rênes, son bassin ondulant sur le sien dans un rythme doux, retardant leur jouissance. Aomine replia ses jambes, les genoux vers le haut permettant à Kagami se s'en servir comme appuie pour qu'il s'enfonce plus profondément en lui. Le policier se lécha les lèvres, se délectant de ce moment unique qu'il partageait avec celui qu'il aimait. Malgré la position agréable, il décida de changer une fois encore. Il se retira du pompier sous un grognement de ce dernier qui trouvait son plaisir dans cette position où il dirigeait leurs ébats.

Cette fois, ce fut face à face qu'ils feraient l'amour, et Kagami fut celui qui s'allongea dos contre le matelas. Aomine se délecta de l'expression du pompier lorsqu'il le pénétra une fois encore avec douceur. La grimace de plaisir qu'affichait ce dernier était d'une indécence… Dressé sur ses genoux, Aomine se pencha en avant, ramenant les jambes pliés du pompier sur sa poitrine et poussant son sexe dans le corps chaud et tendre de son amant. Dans cet angle, la pénétration était à son paroxysme et la sensation exquise. Les coups de butoir qui s'en suivirent déclenchèrent des cris pour le pompier et de virulents grognements au policier. C'était incroyable, dans cette position, Aomine sentait son sexe se fondre dans le corps de son amant alors que ce dernier se resserrait sur lui, leur prodiguant à l'un comme à l'autre, un plaisir immense.

Sentant qu'ils n'en avaient plus pour longtemps, le policier saisit les jambes de Kagami et les écarta vivement avant de s'enfoncer d'un coup sec en lui. Taiga poussa un cri de surprise lorsque le membre dur de son amant percuta ce point sensible enfouis dans son corps. A cet instant, Aomine comprit qu'il venait de trouver la prostate de son amant, prit de passion, il s'acharna sur ce point, accélérant ses mouvements de bassins avec fougue, dérochant à l'un comme à l'autre des gémissements terriblement sensuelles.

- Daiki… ! Daiki… ! Appela Kagami en agrippant les draps, sentant la jouissance arriver.

- Taiga…Grogna Aomine en continuant ses coups de butoir.

Un courant électrique parcourut leur peau et une intense chaleur les transcendèrent, irradiant chaque partie de leur corps jusqu'à leur bourses qui se contractèrent. Ils vinrent ensemble. Aomine se laissa tombé à côté du corps essoufflé de son amant, tentant à récupérer lui aussi son souffle. Silencieusement, ils se contemplèrent satisfait de s'être enfin abandonné l'un à l'autre.

- Taiga… Est-ce que va vraiment continuer à être pompier ? Demanda Daiki, inquiet.

- Oui, c'est ce boulot qui me plaît. J'aime sauver des vies.

- Mais…

- Tu as aussi un métier à risque. Nous ne pouvons rien contre un accident, si on veut être ensemble, nous devons nous faire à cette idée et vivre chaque jour comme le dernier. Déclara Kagami d'une voix grave.

Le policier plissa des yeux un instant, la réalité était difficile à digérée, mais il avait raison. Il secoua la tête, voulant effacer toutes ses inquiétudes, il était là avec Taiga, c'était l'essentiel.

- C'est dommage, j'aurais bien aimé travailler avec toi. Marmonna le policier.

- Hein ? Dans ta brigade ?

- Ouais, j'aurais été ton chef de section. Tu aurais été obligé de faire TOUT ce que je voudrais. Ouais, et t'aurais été obligé de porter l'uniforme aussi… J'imagine même pas dans tous les endroits où on l'aurait fait…Dit-il sur un ton rêveur. Dans la salle d'interrogatoire, une cellule, la voiture de service…

- Arrête un peu de rêver ! S'écria Kagami en lui frappant le sommet du crâne, gêné en imaginant parfaitement la scène.

- Aïe ! Taiga, pourquoi tu me frappes ? Hein ? S'exclama Daiki en grognant.

- C'est impossible…Je pense pas être fait pour être flic. En revanche je suis sûr que toi, tu serais pas mal en pompier.

Kagami déglutit lorsqu'il imagina Daiki en uniforme de pompier, son corps d'Apollon superbement mis en valeur par l'uniforme, alors que les vêtements se volatilisaient au fur et à mesure de son fantasme.

- Oh ? Je te plairais en pompier ? Taquina la panthère affamée. Tu sais, ça peut s'arranger… Grogna-t-il sensuellement.

- Arrête, aho ! Répondit le pompier, gêné.

- Je pourrais même mettre mon uniforme et te menotter pour te faire l'amour. Susurra-t-il dans l'oreille de son amant.

Les joues du pompier prirent feu immédiatement alors qu'un sourire se dessina sur les lèvres du prédateur. Pourtant Kagami affronta du regard le policier, une lueur d'intérêt dans les yeux.

- C'est vrai ?! S'exclama-t-il, visiblement très intéressé par la proposition d'Aomine.

Ce dernier ne cacha pas sa surprise mais il reprit bien vite contenance.

- Oui, et tu pourras mettre ton uniforme pour qu'on puisse s'amuser un peu tout les deux…

- Un…Un jeu de rôle ? Bégaya Taiga alors que son visage devenait de plus en plus rouge.

- J'ai une imagination débordante lorsqu'il s'agit de toi. Prévient le policier en embrassant son cou.

- J'ai aussi pas mal d'idée. Se défendit le pompier en riant.


Et voilà ! Je vous annonce que cette fic est désormais terminée ! Haa non pas de grognement ou de réclamations xD ! Bon, je ne vous cache pas que je pourrais bien faire un petit bonus un de ces quatre, si j'en ai le temps et l'envie ! Donc ne soyez pas surpris si un chapitre se rajoute, un jour, après celui-ci ! Bref, j'espère tous vous retrouver pour une autre fic, je compte en écrire une autre en compagnie de mon couple fétiche !