Titre : Je suis à toi
Auteur : Yoshaly
Rating M
Résumé : Un homme envoi une lettre à Harry pour mettre au grand jour ses « sentiments ».
Attention : relation maître/esclave, rapports SM, langage cru, couple DM/HP, âmes sensibles et homophobes s'abstenir.
Les personnages présents dans cette histoire appartiennent à J.K. Rowling et le studio Warner Bros, seul l'idée de l'histoire et l'histoire sont de moi.
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Je suis à toi :
Cher Harry,
Je ne sais comment tu vas réagir en lisant cette lettre, ni si tu prendras le temps de la lire jusqu'à la fin. Pourtant, je te le demande très humblement, et je te pris de croire que si elle ne t'affligera pas au possible, elle aura au moins le mérite de te faire rire de mon humiliante docilité.
Je n'arrive pas à trouver les bons mots pour commencer cette déclaration enflammée, alors je vais débuter dans le feu de l'action : je te désire au plus haut point. Mes seules pensées se résument aux quelques lignes qui vont suivre.
Mes fantasmes ne sont plus que cris, sueur, coups et sang. Je rêve de ton corps si dur contre le mien, de tes dents si pointues sur mes lèvres, de tes ongles si crochus contre mon dos, de ta domination si brutale sur l'ensemble de mon être. Je donnerais n'importe quoi pour sentir de violentes fessées blessantes, bien humiliantes et dominatrices de ta part. Je voudrais tellement être ta petite chienne à temps complet. Être du matin au soir à tes services, à tes besoins, à tes ordres.
Attaché fermement dans une cave remplit d'objets de torture plus improbables les uns que les autres ; aucune lumière si ce n'est une faible lueur d'ampoule sur un côté de la pièce. Ligoté des quatre membres sur une table froide et dure si inconfortable et pourtant si bandante. Le cuir lacérant peu à peu les extrémités de mon corps, ma bouche ouverte de force à l'aide d'une balle de métal, déjà mouillée de ma salive de petit soumit.
Tu pourras même choisir si tu préfères voir mon visage meurtri de douleur ou mon dos marqué de violences de toutes sortes. Aussi, si tu veux mes jambes largement écartées comme une chienne ou liées entre elles, entremêlées de mes poings.
Tu me puniras de nombreux coups de fouet, encore plus forts et plus durs qu'à ton habitude. Tu me forceras à jouir comme la salope que je suis, et à compter les corrections. Tu m'infligeras les pires supplices avec ta cravache cloutée, peu importe si quelques-uns restent plantés. Plus mes cris se feront aigus, plus mes larmes tomberont, et plus ta colère se ravivera, plus tu seras violent.
Ma soumission sera totale. Et tu ne t'arrêteras que lorsque tu en auras assez de ton jouet, ou lorsqu'il sera cassé. Tu pourras rire et te moquer de mon sexe gonflé à l'extrême de tes tortures incessantes. Celui-ci se mettra à éjaculer sans que tu ne daignes le toucher ; plusieurs fois même, jusqu'à ce que tu cesses de t'intéresser à moi. Tu tireras à ce moment-là mes cheveux pour contempler mon regard et cracher. Et ce n'est que si un « merci Maître » traverse mes lèvres, bien net et articulé malgré le bâillon et le souffle erratique, que tu prendras la peine de me gifler. Ou peut-être même biflé ou te masturber, afin de faire éclater ta semence dans mes yeux, ouverts par la douleur.
J'espère que tu n'auras aucun état d'âme à menotter mes poignets dans mon dos, à m'agenouiller négligemment, et à ouvrir ma mâchoire au maximum, me faisant avaler de tout son long ta verge à peine excitée par tout ce manège.
Après tu auras certainement envi de me mettre dans une position plus qu'embarrassante. Il sera libre à toi de m'agrafer les mains au sommet du lit, d'attachés mes genoux et mes mollets, préalablement couverts de bleus des anciennes punitions, puis, de relever ces derniers à l'aide de tout un système de rouages et de cordes, jusqu'à ce que mes fesses soient légèrement en lévitation par rapport aux draps. Laissant une vue parfaite sur mon trou de catin. Ta catin. Mes gémissements criés ne se dénombreront plus suite à la centaine coup de bâton sur cette partie si sensible de mon être. Je mettrai également des pinces à linge à ta disposition, à pincer où bon te semble. Peut-être mes tétons délaissés jusque-là ? Ou bien mes testicules pas assez saignants à ton goût ?
De plus, j'espère que tu penseras à me faire endurer la traditionnelle sodomie au cœur de cet échange. Quand mes seules pensées raisonnables seront « non, pitié mon Maître », tu en profiteras pour y apporter ce coup de grâce. Afin que je serve enfin à quelque chose : de réservoir à sperme. Ou de vide-couilles. C'est toi qui choisiras mon surnom d'esclavagisme.
Car je serais se que j'ai toujours voulu être : ta catin, ta salope, ta chienne, ton toy-boy, ton sex-toy, ta merde à bite. Peu importe l'appellation que tu me donneras, elle se ramènera toujours à la même: ton esclave.
Si tu souhaites me faire du mal, me griffer, me soumettre, me gifler, me prosterner, me faire pleurer… J'y serai consentant de gré. Mon seul souhait est celui que tu m'acceptes dans ta vie. Je veux que tu ne t'intéresses qu'à moi, moi et moi. Je veux que tu mettes de côté tous ces autres amants contre moi, ta chienne. Je serais ta plus obéissante et reconnaissante créature, je te le promets. Je deviendrai ton jouet le plus attrayant et le plus amusant sexuellement. Et si je t'écœure et que me voir nu te donne la nausée, tu pourras toujours te servir de ta pute personnelle telle une soubrette, ou femme de ménage. Je suis à toi, ne l'oubli pas.
Parce que ma raison s'est envolée depuis longtemps avec ma dignité. Depuis que je veux que tu ne voies plus que moi. Depuis que je t'aime à en crever. À en être torturé.
Draco
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Tout d'abord bonjour à toutes et à tous ^^. Voici la première fiction que j'ose publier sur , et je ne sais si on peut la qualifier de déplorable ou passable… Alors n'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire ! Positif ou négatif mais constructif ;-). De plus, je ne sais pas si je dois faire une suite à cette lettre ou tout arrêter pour me recentrer sur un autre style d'écriture… à vous de choisir.
Sur ce, j'espère ne pas vous avoir fait perdre 10 minutes de votre vie et si c'est le cas n'oubliez pas ! : Reviews :-).
